ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT "Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B.Fuller
WATER FUEL CELL
(Extrait du Site
Quanthomme)
Ingénieur en électricité possédant d'une grande expérience, Stanley
travaillait sur la fusion de l’hydrogène à température ambiante.
Il a été l'auteur de divers brevets en océanographie, monitoring
cardiaque et systèmes de validation bancaires (42 en tout dont 10 au
Canada). Début 1989, il a eu un traitement de faveur au bureau des
brevets : certains de ses brevets ont été acceptés en 1993. La plupart
d'entre eux font partie de la section 101, où l'accord pour le brevet
dépend d'une démonstration réussie. Dans ce bureau les brevets de Meyer
furent expédiés en 8 mois, ce qui est un délai court et inouï qui
prouve qu'ils ont pensé que cette technologie était importante,
d'autant plus que dans d'autres textes il est dit au contraire que
200.000 applications de brevets étaient en attente.
Il a travaillé pour la Fondation Battelle dans l'Ohio, à la mise au
point du projet Gemini à la NASA et aussi au système d'alimentation en
énergie sur le concept EBED pour le projet Guerre des Etoiles.
Il possédait des sociétés qui fabriquent de tels équipements et il
a occupé des fonctions de co-sponsoring dans des affaires
internationales.
Avec son frère, ancien ingénieur en électricité de l'USAF, il a
monté une opération de plusieurs millions de dollars dans le domaine du
transport et des pièces détachées.
Il avait l'esprit d'entreprise. La technologie Water Fuel Cell
(W.F.C., nom de la technologie et de la société de Meyer) est la
propriété de Stanley A. Meyer de Grove City dans l'Ohio. De nos jours,
la W.F.C. International n'a pas de représentants officiels en
Angleterre. Mais, malgré des controverses, au Royaume Uni, des membres
du Parlement, des scientifiques du Ministère de la Défense, étudient la
W.F.C. de Meyer tout comme de grands groupes industriels et des
gouvernements étrangers.
Il a financé seul son travail scientifique, reconnu et récompensé
par des organismes nationaux et internationaux, et a été élu inventeur
de l'année dans le Who'Who américain de 1993. (Il a ensuite reçu des
soutiens substantiels du Canada, d'Angleterre, et de Suède.
LE DECES DE STANLEY MEYER
Le 29 mars 1998, Eugène Mallove rédacteur en chef de Infinite
Energy confirmait sur Internet le décès de Stanley, âgé de 57 ans,
après avoir appelé le service de pompes funèbres à Evans (information
reprise par W. Bahman de P.A.C.E. et D.V.S.).
Le 21 mars, Stanley avait dîné dans un restaurant de Grove City en
compagnie d’autres personnes. Il est brusquement sorti de table en
disant qu’il avait été empoisonné, puis il a couru vers sa voiture sur
le parking et s’est effondré.
Sa famille, sa femme Marylin, son frère jumeau Stefen Foster, un
autre frère Henry, sa sœur Barbara Feret, une ribambelle de neveux et
nièces, lui même n’ayant pas d’enfants, ont du se résigner à l'absence
d'obsèques . Sa dépouille fut emportée pour être autopsiée. Les
premières conclusions ont indiqué que sa mort était due à une maladie
artérielle, mais comme la maladie incriminée aboutit très rarement à la
mort, un autre examen en toxicologie a été ordonné, dont les résultats
n’étaient toujours pas communiqués en avril 1998.
Inge et Adolf Schneider du NET journal (que nous remercions pour
l'autorisation de publier la photo ci-dessus) avaient rendu visite à
Meyer en septembre 1997. Stanley leur avait assuré qu’il avait signé
des contrats avec des firmes américaines pour commercialiser sa
voiture. Jerry Decker avait appris de Stanley même, rencontré à Denver
que sa voiture était presque au point. Il était en bonne santé et plein
d’énergie. En mars, il était sur le point d’avoir un grand succès pour
la pose de la première pierre d’un centre de recherches de $50 millions
à Grove City.
BREF HISTORIQUE DES MOTEURS A EAU.
Il est utile de replacer le travail de Meyer dans son contexte
historique, car, en fait, on dit "fonctionnant à l'eau" pour parler de
véhicules qui, en réalité sont alimentés en hydrogène.
La théorie concernant l'énergie de l'eau date de 120 ans. En 1874,
Jules Verne avait eu la vision de ce "charbon du futur fournissant sans
limites lumière et chaleur à un point tel qu'on ne l'avait jamais
rêvé". A la même époque, August Otto, le père du moteur moderne à
combustion interne, faisait des expériences avec l'hydrogène qu'il
préférait à "l'abominable pétrole". Arrhenius, le grand physicien
Scandinave, posait la théorie moléculaire qui régirait la dissociation
moléculaire libre que Meyer démontre de nos jours.
L'Amirauté Britannique a expérimenté son premier moteur à eau dans
les années 30, sous la direction de l'ingénieur en chef Richmond.
Pendant la guerre le gaz de l'eau a été largement utilisé. Dans les
années 50 British Petroleum a aussi investi sur cette idée. Vers 1970
Channel Islands a beaucoup parlé d’une Morris Mini Minor fonctionnant à
l'eau, mais qui, après de grandes promesses de financement pour sa
commercialisation, est rapidement tombée dans l’oubli.
Un scientifique d'Europe de l'Est durement éprouvé, Yull Brown
(voir son dossier dans le sommaire des Carburants alternatifs) a mis au
point un appareil dont le carburant est l'eau. Dans les années 70,
l'Assemblée Législative de New South Wales a eu connaissance de
l’expérimentation d'une voiture équipée d'un moteur à gaz - eau
consommant 3,78 litres aux 1600 km.
Récemment, un jeune Californien a conçu un système simple et bon
marché pour les voitures. Après avoir été mis en garde par le DoE de ne
pas tenter de commercialiser le dit système (ce qui en démontre la
simplicité), il a mis ses plans dans le domaine public.
Tous ces véhicules utilisent des systèmes qui produisent le gaz que l’on brûle à bord.
Les nouvelles technologies de l’hydrogène produisent 20 à peut-être
1000 fois plus d'énergie que les autres. La Royal Society a examiné un
moteur dont l’efficacité est multipliée par un facteur de 4 à 6. Une
communication officielle était prévue.
D'autres travaux (cités dans le prochain dossier "Sur la piste de
l'Energie Libre…" ) comme ceux de Roger Billings ou l'"hypercar" de
Amory Lovins, convertissent le gaz en électricité. L'amiral Griffin qui
avait essayé en vain de perfectionner la voiture à eau du Dr Henry
Cornish est donc entré en contact avec Meyer. Il a ainsi pu assister en personne à une de ses démonstrations.
W.F.C. affirme pouvoir remplacer les hydrocarbures
utilisés de nos jours. Il suffit de moderniser l’injection des moteurs
à combustion internes au moyen d’un contrôle électronique (par puce)
simple et peu onéreux.
Pour l’automobile, un kit W.F.C. se compose d'injecteurs contrôlés par
puces et que l’on peut installer en moins d’une heure en les vissant
dans les trous des bougies. Dans le cas des diesels, des avions et des
gros générateurs de courant actuels, des adaptateurs similaires
remplaceraient les injecteurs de carburant comme pour les brûleurs
industriels. Des outils de soudure fonctionnant avec l'eau sont déjà
vendus par plusieurs autres compagnies (Gaz de Brown probablement).
Pour un coût estimé à $1500, le procédé de Meyer n’est pas cher
comparé à celui ($25.000) nécessité par l’adaptation des véhicules à la
batterie - hydrogène. Cette dernière, basée sur une membrane à échange
de particules n’est donc pas une technologie convenable pour les pays
en voie de développement. De plus, il n’existe pas d’industrie qui
fabrique ces batteries.
Meyer a aussi inventé des systèmes autonomes pour le chauffage
domestique, et l'industrie, ainsi que pour la production d'eau chaude
et de vapeur. Autres retombées de l'application du principe de
W.F.C. dessalement de l’eau de mer, traitement des déchets,
purification de l'eau (virus et bactéries étant tués par la fréquence
et la chaleur) et modules traitant les oxydes et régénérant l’air .
CARACTERE EXCEPTIONNEL DU PROJET W.F.C.
Il ne s'agit pas d'électrolyse classique: il n’y a pas
d'électrolyte, pas d'usure discernable d'électrode, pas d’énergie
gaspillée en chaleur. En fait, le bénéficiaire de l’énergie
surabondante disponible dans l’eau est la santé publique. En effet,
selon le US National Board of Standards, l'eau contient 2,5 fois plus
d'énergie que le pétrole.
Dans la W.F.C. de Meyer, l'eau est dissociée en gaz au moyen d’une
tension électrique produite par des impulsions de courant continu à
haut voltage (20 à 40 kV) à la fréquence de 10-15 kHz (d'autres sources
Internet donnent 50 Mhz et de moins d'1mA. L'inductance, en série avec
la capacité amorce des résonances à l'intérieur de la molécule.
Celles-ci ont pour effet de casser les liaisons covalentes entre les
atomes d'hydrogène et d'oxygène, en utilisant très peu d'énergie. Les
deux gaz ainsi séparés le restent jusqu'à ce qu'une énergie suffisante
soit disponible pour les recombiner à nouveau sous forme d'eau. Ces
principaux points sont repris pour créer une tension au niveau de la
particule.
C’est vraiment l'oscillation de la particule qui joue un rôle de générateur d'énergie.
Meyer dit que, dans un élément d'injection de W.F.C., on a accès à
un ZPE supplémentaire. C’est à travers un orifice situé dans le noyau,
et que la tension électrique fait ouvrir et fermer que l’on peut faire
travailler le ZPE. C'est une impulsion explosive plutôt qu'un éclair
d'allumage miniature, qui fait mouvoir les pistons et alimente la
transmission normalement tout en produisant seulement de la chaleur et
un brouillard d'eau en échappement. Meyer décrit un processus similaire
pour la division de molécules d'oxydes d'azote.
On peut atteindre une énergie considérable, dépassant de loin celle
de la simple combustion de l'hydrogène. Des brûleurs industriels ont
été conçus pour fonctionner au million de BTU/h.
Selon les calculs, la masse de ZPE est de l'ordre de 10 x 1093 gm par cm3
. L’énergie qui y est contenue équivaut à 2,5 millions de BTU par
gallon d'eau (3,78 l aux USA). Le "vide" à l'intérieur de la molécule
est grouillant d'énergie, comme on le sait déjà depuis 1873 avec James
Clerk Maxwell et même depuis des milliers d'années dans les sciences
orientales et la tradition. La molécule d'eau est l’intermédiaire qui
permet de puiser dans l'éther.
TENTATIVES DE PROMOTION DE W.F.C. AU ROYAUME UNI
L'amiral Griffin, a été un des premiers à tenter d'obtenir une
crédibilité scientifique et un financement industriel pour >une
initiative privée d’expérimentation de la technologie W.F.C.. En tant
que contrôleur de la Navy, et au nombre des créateurs de la Royal Navy
moderne, il était responsable, de la mise en place du plan de
développement de la technique basée sur l'hydrogène. Il s’était chargé
des applications maritimes de W.F.C. et avait planifié une conversion
de la Flotte.
Au premier stade de sa campagne, le but était de convaincre les
militaires anglais et les représentants de l'industrie, que la
technologie W.F.C. fonctionne, et qu'il était possible de traiter avec
Meyer, celui-ci ayant d’ailleurs donné son accord pour une
expérimentation d'un an prévue sur un bateau alimenté à l'eau, aux
docks Ste Catherine à Londres.
Pour les articles scientifiques et les voyages des experts chez
W.F.C., l'Amiral a dépensé personnellement 30.000 £, et Sebastian de
Ferranti 10.000 £ (parmi d'autres sources de financement.) Pendant 6
ans, recherchant soutiens et engagements, l'Amiral Griffin a contacté
sans succès plus de 100 départements du gouvernement et une partie des
plus grandes industries avant de trouver enfin un commanditaire
financier.
La façon dont l’amiral a conduit sa campagne a été soumise à
quelques critiques relatives à la faisabilité et aux prétentions du
plan initial. Toutefois, cette campagne laisse entendre que
l'"Establishment" connaît bien le travail de Meyer. L'agence de
recherche de la Défense et le MoD ont montré leur intérêt dans le
développement des activités de Meyer.
Une exploitation de la technologie Meyer alliée à une certaine
éthique, excluant les applications militaires, recevrait un plus grand
soutien international. C’est vers des zones géographiques où existent
des besoins majeurs, et pour des buts plus respectables, tels que
l'approvisionnement en eau potable et le maintien de l'agriculture
indispensable, qu’il faudrait s’engager.
INITIATIVES DANS LE DEVELOPPEMENT DE LA TECHNOLOGIE W.F.C.
Meyer était engagé dans la constitution d'un réseau de concessions,
et il mettait au point des applications spécifiques sous autorisation
de licence.
On dit que des contrats de développement du type "Proof of Concept"
portant sur plus de $200 M sont en cours avec de grands groupes
industriels. La NASA et l'USAF ont un accès direct à la technologie de
Meyer car ses activités sont soumises à la loi sur la sécurité
nationale aux USA. Lors de sa dernière visite chez Meyer, l'Amiral a pu
observer le développement des travaux sur un certain nombre de moteurs
allant des tondeuses auto portées aux grosses locomotives diesel, en
passant par les tracteurs ordinaires.
On mentionne aussi dans le bulletin de W.F.C. d'autres initiatives
provenant d'autres pays, et, en Amérique, un réseau commercial est
prévu pour adapter les systèmes en modernisant les véhicules existants.
Il y avait des séminaires réguliers sur les investissements, et Meyer
employait des équipes de spécialistes.
Des recherches ont été faites pour établir des centres au dehors de
l'Amérique. On a cité le Royaume Uni (jusqu’au décès de l’Amiral) ainsi
que la Suède et l'Ukraine. Meyer tient beaucoup à ne pas augmenter les
risques de concentration de toute l’activité dans un seul centre. De
nombreux organismes, bien connus comme le MITI au Japon et ETZ en
Allemagne ont tenté, en vain de reproduire les travaux de Meyer.
On dit que Meyer n'a pas produit les articles scientifiques
convenant aux revues de ses pairs, ce qui explique que les rapports sur
son travail aient été limités. Etant donné la résistance au NET en
général et la compétition naturelle dans les domaines de l'énergie,
c'est compréhensible. Les brevets US ont été accordés sous la clause
d'une "mise en pratique" équivalente, selon Meyer, à des essais
indépendants.
Il y a eu des controverses dans les médias au sujet de son travail
mais pas encore d’enquête véritable et complète. Meyer qui avait trouvé
qu'un article paru dans New Energy News était trop partial et déformé a
demandé qu'il en soit publié un autre. Les matériels de
commercialisation sont avares de détails au sujet des processus
impliqués.
On a tenté plusieurs fois d'"acheter" Meyer aussi bien dans son
travail que personnellement, et il a été victime de provocations. Il
est facile de comprendre sa prudence, car il semble attendre avant
d'agir, que se diffuse largement l'idée que l'eau peut être un
carburant. Il projette plutôt de contrôler sa technologie pour
s’assurer que son invention sera dévolue au bien de l’humanité.
Il existe une vidéo de 1993 de ISNE, présentée par INE. Fin 1995,
une compagnie de télévision anglaise, INCA a rendu visite à W.F.C..
L’émission "Ca marche avec de l'eau", commentée par Arthur A. Clarke a
été suivie de nombreuses demandes de renseignements, et de visites
d'organismes tels le DRA (Ministère de la Défense) et une prestigieuse
Université. Un membre de la Chambre des Communes a également contacté
W.F.C. et suit ses progrès.
Stanley Meyer s’était rendu en Angleterre et dans certains pays
d'Europe en Octobre 96. Il avait exposé à plusieurs industriels la
viabilité de la technologie W.F.C.. De nombreux contrats "Proof of
Concept" ont concerné les domaines de l'aviation, l'agriculture, du
chauffage domestique et industriel, des transports par voies de terre
et maritime (en particulier la technologie Hyperdrive ® qui concerne
essentiellement un sous-marin de pointe.)
ARTICLES DE JOURNAUX SCIENTIFIQUES ET UNIVERSITAIRES
Voici de nombreuses confirmations basées sur des essais dans des laboratoires gouvernementaux et universitaires.
28 ème IECEC Intersociety Energy Conversion Engineering Conférence,
août 1993 : " démonstrations répétées devant de nombreux
témoins "…
Aeronautic and Space Administration (NASA) Documentation : " utilité de ce procédé pour l'aéronautique "…
Ray Bachnak, Docteur en physique, Professeur et Président de
Electronic Engineering Technology, Franklin University, Columbus, Ohio
1996 : " le circuit VIC ® doit accomplir la fonction prévue "…
Dr. T. Nagypal, Professeur à l'Université de Vienne, et Ingénieur
consultant dans l'Industrie : " mais votre théorie
fonctionne…l'efficacité est de 300 % "…
Rea O' Neill, Professeur de technologie scientifique, Institut de
technologie de Dublin, Irlande : " c'est une méthode assurément
différente du processus d'électrolyse classique, c'est une technologie
qui pourra fournir aux véhicules un carburant alternatif dans un proche
futur "…
Amiral Sir Anthony Griffin, Contrôleur de la British Navy (en
retraite), Rapport Perkins, 1993 : " L'Université du Sussex a
réussi à produire de l'hydrogène à partir d'une installation de montage
expérimentale basée sur les circuits de Meyer "…
Professeur Robert Bailey, Département d'Ingénierie Mécanique,
Université d'Etat de l'Ohio, Grove City, dans un article du 06/03/1996
intitulé: "Intervention divine" : " Il n'y a aucun doute: cela
fonctionne "…
Paul Czysz, Professeur en Aéronautique, Université de Saint-Louis,
consultant auprès de la NASA, Programme Equinoxe de Canal 4, à Londres,
émission du 17/12/1995 : " Ca marche avec de l'eau" : " c'est une
technologie qui capte manifestement le ZPE "…
Science Explained, le monde de la science au quotidien, Colin, A.
Ronan, Editeur général, Copyrighted Science Book, 1993…confirme que
l'atome d'oxygène a une charge électrique négative, et que celui
d'hydrogène a une charge positive…
Les Notes Cliffs de 1993 de Harold D. Nathan, Docteur en physique,
vérifient l'effet de liaison électrovalente inhabituel entre des
structures moléculaires gazeuses et liquides dans des équations où
chaque groupe d'ions atomiques différents a un symbole de charge
électrique positive ou négative.
De nombreux laboratoires indépendants d'universités ont confirmé l'importance de la tension élevée pour un courant faible.
Gary L. Johnson de l'Université d'Etat du Kansas a intitulé son
rapport: "Explosions dans l'eau induites par l'électricité". Il y
indique qu'il a découvert que la force de l'explosion augmentait avec
le voltage et que le volume d'eau diminuait.
Roy Azevedo, Peter Graneau et Charles Millet de l'Université
Northeastern, ainsi que Neal Graneau du Collège Royal de Londres ont
intitulé leur rapport: "De puissantes explosions de plasma -eau". Ils y
confirment des résultats semblables en utilisant un voltage pulsant de
30 à 40 kilovolts.
Les docteurs Ukrainiens Eugene Antonov et Vladimir Dresyiannikov,
ont vérifié comme les précédents chercheurs les différents aspects de
la technologie brevetée de Meyer.
LES CONTRATS W.F.C.
Après des années de recherche et de mise au point, la technologie
W.F.C., est arrivée au stade de conception du système et de
préfabrication par les premiers financements des contrats W.F.C. Proof
of Concepts. Ceci signifie que l'on s'attend à la fabrication prochaine
aux normes industrielles, de modules W.F.C..
Cependant, il faudra alors que l'eau prenne l'appellation de
carburant, et que la technologie W.F.C. soit testée et certifiée pour
l'EPA et convienne aux règlements d'autres gouvernements. Quand on en
sera là, l'objectif de W.F.C. d'utiliser l'eau comme carburant pourra
émerger au grand jour. Les concessions W.F.C. prospéreront, et la
dépendance aux carburants fossiles touchera à sa fin. C’est une foi qui
a animé toutes les démarches de W.F.C.. Après beaucoup de travail, on
s’attend à la voir atteindre son but.
Le contrat " Proof of Concept ", en quatre points, est
une sorte de contrat unique qui protège aussi bien W.F.C. que celui à
qui il est concédé, utilisateur et / ou compagnie maîtrisant
parfaitement une haute technologie.
L’Agrément International W.F.C. sur l'accord de contrat désigne les
paramètres du système d'énergie à modifier et établit les termes et
conditions particulières portant sur la totalité du contrat.
Le Contrat de projet W.F.C. International concerne la construction
de deux systèmes de kits de prototype W.F.C., aux fins d'essais et de
mises au point aux normes industrielles, en vue de la production.
W.F.C. fournit au signataire les spécifications de la conception, et
celui-ci construit les prototypes. W.F.C. fournit aussi l'interface
électronique et le logiciel nécessaires pour lancer les modules.
L’acceptation contractuelle de l’Agrément International de licence
de brevet W.F.C., énonce les conditions et les termes pour une licence
de fabrication à l’échelle d’une grande distribution W.F.C..
L’Agrément pour contrat de concession industrielle de W.F.C.
International, mentionne les termes et les conditions d'une licence de
concession industrielle sur une zone géographique donnée. Cette licence
n'entrera pas en conflit avec les concessionnaires locaux mais
encouragera la croissance des concessions.
W.F.C. soutient de nombreux contrats dans des domaines énergétiques
divers dont le premier porte sur le chauffage domestique et industriel
ainsi que les transports avec l’important projet Proof of Concept
de Résonateur à vapeur industriel W.F.C.® . Ce module peut être adapté
sur d'énormes chaudières industrielles et stabiliserait les coûts
énergétiques d'un grand nombre d'industries. De plus, il empêche l'eau
de geler quand on utilise l'injecteur à carburant eau W.F.C. dans
l'application choisie.
DES CONTROVERSES MALHONNETES, DES FREINS…
Récemment, W.F.C. a été déclaré coupable d’une fraude grossière,
accusé de ne pas avoir montré quoi que ce soit qui fonctionne, ni de
quelconques progrès. Les plaignants étaient des investisseurs d’un
programme de carburant concurrent. Aucun des trois témoins
" experts " n’avait de références scientifiques et parmi eux,
il s’en trouvait deux qui avaient tenté précédemment de prendre la
direction de W.F.C.. Lors du procès, le juge a été jusqu’à couper
l'enregistrement audio du tribunal pendant une démonstration de la
technologie W.F.C..
Meyer (qui depuis 1980 avait dépensé plus de 1,6 millions de
dollars) a donc déposé une requête en rejet de la décision de cette
cour de justice contre le juge qui a bafoué les lois du Conseil
Supérieur de Justice de l’Ohio alors même que la confirmation
scientifique se déroule.
Au cours d’une réunion prévue au Parlement britannique, à la
Chambre des Lords, Meyer devait parler de la W.F.C. et de la production
d’énergie par l’extraction de l’hydrogène de l’eau. Mais cette réunion
a été annulée à la dernière minute.
LES AVANTAGES ECOLOGIQUES DE W.F.C.
Le sous-produit de l'injecteur W.F.C. ® est un brouillard d'eau qui
retourne à l'environnement, où il recevra à nouveau l'énergie du soleil
par absorption de l'énergie photonique. On peut alors recueillir cette
eau sous forme de pluie, et la recycler de nouveau dans le moteur, que
ce soit en système ouvert ou fermé.
La technologie W.F.C., spécialement conçue pour convenir aux
transports, participe à la dépollution de l'atmosphère, en empêchant le
prélèvement de l'oxygène nécessaire à la respiration, en éliminant le
rejet d'oxydes chimiques dans l'atmosphère, tel qu'il se produit
aujourd'hui avec les combustibles fossiles, en revitalisant les niveaux
d'énergie des molécules d'air, et en dissociant les oxydes chimiques
déjà présents, depuis 70 ans.
Avec la technologie W.F.C., le moteur à combustion
interne, au lieu d'être un système polluant, devient un système
purificateur d'air
Conscient de cet avertissement et des signes évidents des dangers
majeurs encourus par la planète, des chercheurs du monde entier font
connaître, grâce à Internet, les avantages de la technologie W.F.C..
L'OSCILLATION DE LA PARTICULE EN TANT QUE GENERATEUR D'ENERGIE.
C'est ainsi que Meyer définit lui-même le processus relatif à la
W.F.C. (qui fait l’objet de 26 brevets US et internationaux et dont un
plus grand nombre encore sont en cours).
Depuis longtemps les scientifiques ont observé que des
atomes stimulés de différentes façons sur des fréquences résonantes
particulières provoquent la libération de l'énergie qu'ils contiennent.
Thomas Edison en a fait la démonstration en utilisant un flux de
courant pour faire osciller les atomes d'un filament dans une ampoule,
dans le but de produire une énergie lumineuse. Gordon Gould a utilisé
l'oscillation des particules en faisant absorber puis rayonner à
nouveau par un atome l'énergie de photons cohérente dans ce que l'on
appelle Laser. Le précurseur du Laser, se servait de cette même
oscillation avec l'absorption et le re-rayonnement de l'énergie
électromagnétique, ce qui donnait la propagation de micro ondes appelée
Maser.
Des instruments de musique qui utilisent des caisses de résonance
amplifient les ondes sonores, et se servent ainsi également de
l'oscillation des particules en absorbant puis ré - émettant à nouveau
l'énergie acoustique amplifiée.
On peut s'interroger sur la cause des éclairs ou sur ce qui
alimente l'énergie d’un ouragan ou d’une tornade, phénomènes naturels
fréquents. Chaque réponse a un point commun : le
" fléchissement " ou l'oscillation de la molécule d'eau.
L'éclair se produit lorsque le front de l'orage " fléchit "
les atomes de molécule d'eau exposés à des nuages d'orage à charge
électrique négative.
Le fléchissement de la molécule d'eau présente dans le courant
d'air tourbillonnant que constitue un ouragan ou une tornade, libère
une énergie énorme qui aide à la formation de l'orage. Une élévation de
la température initiale fait tourbillonner l'air, délimitant ainsi une
zone d'humidité dans le courant d'air. Le courant tourbillonnant de
l'air ascendant crée une tension électrique opposée sur les molécules
d'eau qui se trouvent dans l'atmosphère chargée par l'électricité du
courant d'air en déplacement. Cette tension " fléchit "
électriquement les atomes pour libérer l'énergie qui alimente l'ouragan
ou la tornade.
D'OU PROVIENT CETTE ENERGIE ET COMMENT EMANE-T-ELLE DE L'ATOME?
Soumis à une pulsation électrique, un orifice d'énergie, localisé
dans le noyau de l'atome, est physiquement contraint à s'ouvrir pour
permettre à une plus grande quantité d'énergie de pénétrer dans le
spectre d'énergie de l'atome.
L’énergie est libérée par l'intermédiaire des atomes dans notre
univers. C'est ce qui a été quantifié par l'équation d'Einstein E=mc2.
Quand il a élevé au carré la vitesse de la lumière, il s'est aperçu que
le potentiel d'énergie lumineuse était plus grand que la troisième
dimension dans laquelle nous existons. Cette énergie universelle ou
ZPE, pénètre continuellement dans notre troisième dimension par les
orifices d'énergie des atomes. C'est ce qui permet à toutes les
structures atomiques de la troisième dimension d'exister ou bien de se
maintenir dans un état d'équilibre atomique. S'il n'en était pas ainsi,
aucune des formes de vie connues n'existerait. Comment se fait-il
qu’une minuscule graine donne un séquoia géant ? Comment l'enfant
dans le sein de sa mère peut-il subir une structuration atomique pour
entretenir la vie? Ni la graine ni la mère ne tirent assez d'énergie du
soleil ou de la nourriture pour pouvoir fabriquer ne serait - ce qu'un
atome. Comment l'univers poursuit-il son expansion parallèlement à la
création de sa masse physique?
Il semble que l'énergie nécessaire à la création de l'univers et de
la vie tels que nous les connaissons émanent du noyau de l'atome, par
l'intermédiaire de l'orifice d'énergie. C'est ainsi que tous les atomes
fonctionnent en tant que générateurs d'énergie.
Jusqu'ici, il a fallu une grande énergie d’entrée pour que le
processus d'oscillation de l'atome libère de l'énergie. C'est ce que
démontre avec violence un dispositif thermonucléaire qui ouvre
réellement, puis détruit, l'orifice d'énergie des atomes d'uranium 235
et 238.
Mais c'est dans le déclenchement de ce processus à un faible niveau
énergétique que réside le secret. Le processus devient alors réalisable
économiquement, et utilisable par un consommateur moyen. Pour accomplir
cet exploit, Meyer a eu l'idée de se servir de champs de voltage de
polarité opposée sur la molécule d'eau. Ceci produit une tension
électrique qui fait que les atomes de la molécule d'eau dépassent
l'état d'équilibre atomique et se dissocient ou se scindent en gaz
hydrogène et oxygène.
Aux environs de 40 kilovolts les gaz prennent automatiquement feu,
ce qui produit une énergie thermique explosive (gtnt). A de plus hauts
voltages, même, et à la fréquence de résonance de la molécule d'eau,
l'orifice d'énergie est ouvert et on peut alors voir une libération
contrôlée, de fantastiques quantités d'énergie.
Cette méthode ne dépense pas de grandes quantités d'énergie puisque
la tension n'est pas consommée dans un circuit électronique. L'énergie
n'est ni créée, ni détruite mais libérée à partir de l'atome (voir
figure 2)
Meyer appelle ses électrodes des exciteurs, en fait, ce sont des
plaques parallèles en acier inox placés en parallèle ou selon un schéma
concentrique. La production de gaz semble être inversement
proportionnelle à la distance qui les sépare, le brevet indique 1,5 mm
pour de bons résultats. La vraie différence réside dans l'alimentation
de la batterie pour laquelle Meyer se sert d'une inductance externe qui
paraît être en résonance avec la capacité de la batterie - l'eau pure
ayant apparemment une constante diélectrique d'environ 5 - ce qui
produit un circuit parallèle résonant. Ce circuit est excité par un
générateur à impulsion à haute puissance, avec ensemble la capacité de
la batterie et une diode de redressement, le tout formant un circuit de
pompage de charge.
Selon Harold Aspden, Meyer se sert de tubes métalliques
concentriques immergés dans l'eau et renvoie les impulsions entre les
tubes ce qui induit des effets de champs rayonnants augmentant
vraisemblablement la dissociation ionique des molécules d'eau et
produit l'hydrogène et l'oxygène avec l'énergie captée dans l'éther.
(New Energy News août 96)
Figure 1- Optical thermal lens ®
Le développement W.F.C. de la technologie EASER ® maîtrise ensuite
cette puissance, sans toutefois détruire l'atome et son orifice
d'énergie (voir figure 7).
Cette libération d'énergie dans EASER ® vient de la seule "flexion"
de l'atome d'hydrogène (ou de tout autre atome) par des tensions
électriques pulsantes dans un environnement de vide. Le EASER ® devient
donc ainsi un soleil miniature contrôlable.
L'élément le plus courant sur Terre, l'hydrogène, est le carburant
parfait en raison de sa grande énergie et de sa disponibilité. L'atome
d'oxygène soutient notre vie. L’eau, combinaison d'hydrogène et
d'oxygène, est aussi bien génératrice de vie que purificatrice. Il est
donc fort à propos d'utiliser l'eau en tant que source d'énergie propre
et recyclable.
CONFIRMATION DE LA TECHNOLOGIE W.F.C.
Depuis 1985, W.F.C. s’est employé à persuader la communauté
scientifique de changer sa façon de comprendre la nature de la molécule
d'eau et des forces qui agissent sur elle. Il lui fallait comprendre
que la molécule d'eau est chargée en dipôle électrique, et qu'il y a là
une force d'attraction électrique entre les atomes de charge opposée.
Il n'existe pas de force électromagnétique entre les atomes différents
de la molécule d'eau, puisque les 8 électrons de l'orbite extérieure
"L" des atomes d'oxygène se mettent par paire et tournent dans des
directions opposées. L'orbite "L" de l'atome d'oxygène admet jusqu'à 8
électrons mais pas plus pour la stabilisation de la molécule d'eau.
La force d'attraction électrique est équivalente aux deux électrons
d'hydrogène partagés occupant l'orbite "L" de l'atome d'oxygène chargé
négativement. Le potentiel de tension appliqué pendant la pulsation de
la molécule d'eau n'est pas consommé dans le circuit électronique. Le
stress électrique de polarité électrique opposée favorise l'oscillation
moléculaire, comme dans un générateur à énergie.
Il ne faut qu'une force d'attraction extérieure pour dissocier la
molécule d'eau; ce sont les champs de tension opposée agissant sur la
molécule d'eau qui sont la cause de ce stress. Finalement, des
gouttelettes d'eau peuvent être converties instantanément en énergie
thermique explosive (gtnt) à des niveaux de tension plus élevés
(jusqu'à 40 kilovolts et plus).
Figure 2 - Burner Nozzle ®
Suite logique : le montage des tuyères de brûleur industriel
W.F.C. ® . Le brûleur peut répondre à tous les besoins de chauffage, de
la maison individuelle aux mégawatts des centrales électriques en
passant par le brûleur industriel d’une puissance de l'ordre du million
de BTU/h. Avantage de la technologie W.F.C.: cette buse de brûleur peut
être adaptée pour remplacer de vieux brûleurs, ou bien peut faire
partie d'un nouveau système de chauffage.
Des contacts intéressants ont été pris avec la marine, les
transports aériens, les producteurs d'électricité, des entreprises de
dessalement de l'eau de mer, et de traitement de déchets toxiques ou
non. Les contacts outre-mer comprennent l'Angleterre, l'Allemagne,
l'Autriche, la Belgique, la Suède, le Canada, l'Australie, la Nouvelle
Zélande, la Thaïlande, l'Inde, la Corée et l'Ukraine. Les contacts
américains incluent Hawaï et l'Alaska ainsi que presque tous les états.
Les USA et le monde se préparant à entrer dans l'ère de l'hydrogène,
W.F.C., sera le mieux placé pour répondre aux besoins en énergie du
monde entier.
Figure 3 - W.F.C. Industrial Steam Resonator®
Mis au point aux normes industrielles avec un contrat Proof of
Concept, cet appareil formé d’une rangée de tubes, chauffe l’eau sans
flamme apparente, à la température choisie, et sous différentes
conditions climatiques.
Ses applications sont nombreuses : bains industriels,
chauffage des piscines et des serres, chauffage domestique à eau ou à
air, injection de vapeur pour détruire les mauvaises herbes.
LA DUNE BUGGY W.F.C.
Figure 4
Au volant, Stanley Meyer, Dr Russel E. Fowler, Directeur du
personnel et de la présentation de la technique de W.F.C., (second à
partir de la droite)
Aux USA, l’intérêt se porte plus sur une voiture alimentée à l'eau,
en Angleterre, sur un bateau et en Suède, sur un chauffage individuel.
Une Dune Buggy a été modifiée en 1985, pour participer à une course
de 1900 miles en Novembre 1991, en Australie. Dans sa batterie à eau,
qui reste froide après plusieurs heures de fonctionnement, le processus
de combustion thermique utilise l’oxygène de l’eau au lieu de
l’extraire de l’atmosphère. Meyer compte miniaturiser son système.
On peut comparer le coût estimé du système Meyer modernisé destiné
à l’automobile - 1500 dollars déboursés uniquement lors de
l’installation - aux 14.000 dollars d’achat de carburant qui seraient
nécessaires pour alimenter la même voiture pendant toute sa durée
d’utilisation. On pourrait produire 11000 de ces équipements par jour.
L'utilisation des gaz ionisés provenant de l'air ambiant peut
favoriser l'augmentation énergétique de la flamme en portant le taux de
combustion de gaz au niveau de celui des carburants fossiles.
L'absorption de l'énergie des photons soutient le " temps
atomique " restant pour permettre, grâce à une étincelle adéquate, une
mise à feu des gaz de combustion (hydrogène et oxygène de l'eau)
présents et soumis au stress électrique pulsant. La fréquence de
pulsation appliquée, ainsi que l'amplitude de voltage, et le calibrage
volumétrique de la gouttelette d'eau déterminent la production
d'énergie. Une seule goutte d'eau de 7,4 µl (micro litre) suffit à
faire fonctionner un moteur à injection à combustion interne de 50
chevaux. Avec une gouttelette d'eau de 148 µl par cycle d'injection,
c’est un moteur à injection de 1000 chevaux qui peut fonctionner. (voir
figure 7)
Figure 5 - W.F.C. Water Fuel Injector ®
La modification d'une voiture est probablement un des projets les
plus stimulants en raison de la variété de systèmes qu'il faut
étalonner avec les protocoles de tests de fiabilité. C'est ce que
W.F.C. est sur le point d'accomplir car elle achève la programmation
informatique et aussi celle d'autres composants électriques et du hardware.
On perfectionne aussi l'injecteur à carburant eau W.F.C. qui peut
convenir à tous les besoins énergétiques couverts par la combustion de
carburants fossiles. Il peut remplacer les bougies des voitures, les
injecteurs de diesel, les orifices d'injecteurs dans les moteurs
d'avions et les turbines à vapeur, et les orifices des tuyères dans les
moteurs de fusée alimentés à l'eau.
Figure 6 - Converting Water Droplets instantly
Dans cet injecteur, variante de la cavité résonante W.F.C. ® qui
accroît le dégagement d'énergie du processus W.F.C., les gouttelettes
d'eau sont converties instantanément en gaz hydrogène et oxygène mis à
feu dans un champ de tension à impulsions. Cet injecteur a été tout
spécialement mis au point pour libérer l'énergie par l'orifice de
l'atome (voir figure 10). Les gouttelettes d'eau arrivent selon un
certain débit dans la cavité résonante effilée qui fonctionne comme un
guide d'ondes de tension. La gouttelette d'eau soumise aux impulsions à
haut voltage de polarité opposée, est instantanément transformée en ses
deux composants gazeux (voir figure 10). Immédiatement après, avec une
tension électrique supérieure, les gaz libérés deviennent des gaz
ionisés (éjection d'électrons), et sont finalement rejetés loin de
l'orifice de la buse d'injecteur à eau carburant W.F.C. ® d’allumage du
gaz.
Figure 7 - Voltage tickling of state space ®
La forme effilée de la sonde de voltage positif au centre, amplifie
la séquence d’impulsions de voltage pour augmenter continuellement le
stress électrique sur les gaz libérés de la molécule d'eau, tout le
long de la cavité résonante qui fonctionne comme un circuit de
compression de voltage…activant ainsi, le stade d'amorçage d'énergie
que l'on appelle Voltage Tickling of State Space ®
L'injecteur W.F.C. ® accomplit en un seul instant plusieurs fonctions continues à savoir
- la libération des gaz hydrogène / oxygène provenant de la gouttelette d'eau injectée
- l'oscillation des gaz combustibles flottant librement sous le
stress électrique pulsant qui fait osciller la particule comme un
générateur d'énergie
- et enfin l'ionisation des gaz combustibles par l'émission d'un
électron juste avant que les gaz sous pression soient éjectés par
l'orifice de la buse.
Quand les gaz expulsés en tension reviennent à un état d'équilibre
stable, les atomes de gaz " en flexion " libèrent l'énergie -
déclencheur qui fait démarrer et propage le processus de combustion du
gaz, dont on utilise l'énergie.
Selon ses caractéristiques électriques et physiques, la cavité
résonante W.F.C. ® peut satisfaire à différents besoins énergétiques.
Par exemple, dans le domaine du transport automobile, elle devient
injecteur à carburant eau. Celui-ci remplace la bougie d'allumage
classique d'un moteur à essence ou diesel, sans que l'on ait besoin de
changer le moteur. L'injecteur peut aussi être conçu en série pour
convenir à l'adaptation et la modernisation de chaudières industrielles
ou dans le montage de tuyères de brûleurs W.F.C.
Dans ces cas-là, les injecteurs W.F.C. ® sont spécifiquement conçus
pour convertir instantanément et à la demande les gouttelettes d'eau en
énergie explosive thermique (gtnt). C'est ce qui permet à la
technologie de l'injection de l'eau carburant d'être en conformité avec
la National Security Energy Act de 1992.
Cette loi exige d’utiliser de l'oxygène dans la combustion du gaz
hydrogène pour faire fonctionner la Dune Buggy ou n'importe quel autre
moteur à combustion interne. Pour recevoir l'appellation de nouveau, un
carburant doit donc ajouter de l'oxygène à son processus de combustion.
Et parmi toutes ses propriétés admirables, l’eau, justement, fournit
son propre oxygène.
La conversion de la gouttelette d'eau en énergie thermique
explosive instantanée, au moyen d'un cycle d'injection permet aussi à
la technologie W.F.C. d'être en conformité avec les directives de
sécurité nationale aux USA car elle prévient tout risque d'explosion
lors d'une collision. En effet, l'eau est le meilleur moyen de stocker
l'hydrogène, puisqu’il y est contenu et ne peut donc pas y brûler.
Figure 8 - W.F.C. Exhaust Air Reclaimer Technology ®
Le développement de la technologie de régénération d'air W.F.C. ® ,
(figure 8) est perfectionné pour éliminer les émissions possibles
d'oxyde d'azote (ou gaz hilarant), ainsi que d'autres gaz indésirables.
Le mélange à deux pour un d'hydrogène avec l'oxygène dans la molécule
d'eau est assuré continuellement à travers l'injecteur à carburant eau
W.F.C., ce qui donne une formation de quantités négligeables d'oxyde
d'azote. Si toutefois une molécule d'oxyde d'azote se formait, le Air Reclaimer
® en séparerait simplement les éléments en azote et oxygène. Le
sous-produit de ce type d'injecteur est un brouillard d'eau qui
retourne à l'environnement. La technologie W.F.C. de régénération de
l'air peut vaincre la liaison électrovalente de ces oxydes, (comme pour
la dissociation de la molécule d'eau), en les plaçant dans des zones de
voltage de polarité opposée
L'UTILISATION DE L'EAU EN CARBURANT
L'eau contenant deux fois et demi plus d'hydrogène que l'essence,
l'énergie de l'eau libérée en énergie thermique explosive, équivaut à
plus de 2 millions de BTU par gallon (3,78 litres aux USA) d'eau. C'est
ce qui se passe, avec une tension électrique pulsée, d'abord sur la
molécule d'eau, puis sur les atomes des gaz hydrogène et oxygène.
Figure 9 - Electrical Polarization Process
En commençant par le processus de polarisation électrique W.F.C. ®
, (voir figure 9) et en continuant avec le processus de fracture de
l'hydrogène, on libère de plus en plus d'énergie. Quand les atomes
d'hydrogène et d'oxygène sont soumis aux impulsions de tension, les
électrons sont contraints de s'éloigner du noyau des atomes. Leur spin
orbital décroît et les atomes entrent alors dans un état de non
équilibre. A chaque nouvelle impulsion, les électrons sautent sur des
niveaux d'énergie plus élevés, puisque les atomes cherchent à redevenir
stables. C'est ce qui fait osciller l'atome et donne le phénomène de
libération d'énergie à travers l'oscillation de la particule -
générateur d'énergie. A l'étape suivante d'augmentation différentielle,
les électrons qui sautent sont alors éjectés loin de la molécule
allongée soumise à la tension électrique. Cette diminution dans la
masse atomique fait que l'orifice d'énergie s’agrandit…ce qui libère, à
partir de l'atome, de bien plus grandes quantités d'énergie explosive
thermique (gtnt) qu'auparavant.
Le potentiel de voltage négatif (B-) et le potentiel de voltage
positif (B+) de même intensité, mais opposé, surmonte la force de
liaison électrovalente des atomes d'hydrogène et d'oxygène de la
molécule d'eau. Ceci oblige l'atome d'oxygène porteur d'une charge
électrique négative à être attiré vers la zone de voltage stationnaire
positif (B+), alors qu'au même instant, les atomes d'hydrogène chargés
positivement sont attirés électriquement vers le champ de tension
stationnaire négatif (B-).
Cette force d'attraction électrique opposée accomplit instantanément trois fonctions dans une séquence d'événements:
1 - la molécule d'eau s'allonge
2 - le rapport de temps partagé des électrons de la structure
atomique de l'hydrogène et des atomes de gaz est changé, ce qui
affaiblit la liaison électrovalente entre les atomes d'hydrogène et
d'oxygène,
3 - le fait de pulser et d'augmenter la tension électrique sur la
molécule d'eau affaiblit le champ magnétique des atomes de gaz
combustible, ce qui provoque l’extinction de la covalence de la
molécule d'eau en réduisant la vitesse orbitale de spin des électrons
concernés et soumis à la tension électrique.
Ces 3 étapes permettent alors, à un très faible niveau d'énergie
initiale, de désunir les atomes de gaz composant la molécule d'eau.
Cette entrée d’énergie dépend beaucoup du voltage et démarre dans la
gamme du millivolt / milliampère. Cependant, la fuite d'ampères est
maintenue à son minimum, tandis que le voltage augmente
considérablement. C'est à 40 kilovolts et au-delà que les deux gaz
s'enflamment automatiquement, lorsqu'ils sont dissociés. Le processus
est économique, puisque l'on maintient l'ampérage à son minimum et que
le champ de tension de polarité n'est pas consommé dans un circuit
électrique. Et il est aussi sans danger, puisque l'hydrogène pur n'est
pas stocké, mais brûle à la demande avec les atomes d'oxygène de l'eau.
De plus, la technologie des Inventions W.F.C. ne crée pas d'énergie
mais libère seulement l'énergie déjà présente dans les atomes
d'hydrogène et d'oxygène, se conformant ainsi aux lois de la
thermodynamique. "Amorcés " électriquement, les atomes fonctionnent
comme des générateurs d'énergie. Les lois de la thermodynamique
s'appliquent seulement une fois que l'énergie est libérée de l'atome.
Cette dissociation ou fission unique de la molécule d'eau a été
favorisée par l'invention du VIC ® (circuit amplificateur de tension
W.F.C. voir figure 10).
Figure 10 - W.F.C. Voltage Intensifier Circuit ®
Celui-ci est tout spécialement conçu pour maintenir la fuite
d'ampères à son niveau le plus bas, ce qui permet au potentiel de
tension de polarité opposée d'accomplir le travail nécessaire à la
séparation des atomes de la molécule d'eau. Grâce aux caractéristiques
d'inductance du VIC ® et à sa conception unique, on peut augmenter la
tension aux niveaux requis. On peut aussi réduire le flux d'ampères
tout en permettant au potentiel de voltage de polarité opposée d'opérer
la séparation de la molécule d'eau chargée électriquement en bipolaire,
et ce au moyen d’une force d'attraction électrique opposée, ou stress
électrique. L'auto inductance répartie sur chaque bobine empêche
essentiellement un afflux d'ampères (ou retarde le flux de courant) sur
l'orifice d'eau.
Simultanément, la capacité répartie sur chaque bobine provoque une
augmentation du potentiel de voltage appliqué, avec des polarités
opposées placées en vis à vis dans la molécule d'eau : le
processus de polarisation électrique ® est ainsi accompli. Chaque
bobine fonctionne ensuite en tant que bobine d'impédance (self)
chargeante dont la résonance s'accorde aux propriétés diélectriques de
l'eau, lorsque la fréquence de pulsations est ajustée pour s'attirer un
minimum de flux d'ampères, alors que le potentiel de voltage tente de
monter vers l'infini (si le circuit électrique le lui permettait.)
L'augmentation du nombre de spires de chaque bobine qui est directement
relié à l'augmentation de l'amplitude du voltage de pulsation appliqué,
augmente le stress électrique au-dessus de l'orifice d'eau.
Dans tous les travaux d'ingénierie relatifs à tous les systèmes,
dont chaque processus bénéficie de celui qui l'a précédé et l'amplifie,
la technologie de la conception électronique programmable par EEPROM ®
assure sécurité et fiabilité des produits W.F.C. De plus, cette
technologie se prête à une production de masse, puisque on maîtrise
très bien depuis quinze ans la microélectronique et l'injection de
plastique moulé.
QUELQUES SIGLES ET ABREVIATIONS |
BTU |
Baril Equivalent Pétrole |
DoE |
Ministère de l'Energie |
EPA |
Ministère de l'Environnement |
gtnt |
grammes équivalent tnt |
INE |
Institute for New Energy |
ISNE |
International symposium for New Energy |
MoD |
Ministère de la Défense |
NET |
New Energy Technology |
ZPE |
Zero Point Energy |
En plus des sources citées en page d'accueil , ajoutons W.F.C.International New Release n° 11A fin 96 qui recommande la diffusion de ses informations et schémas et London Sunday Times
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