Partie 1
Texte traduit informatiquement. (Veillez
excuser le mauvais français)
Générateur
d’hydrogène eau-aluminium :
Votre voiture peut fonctionner à l'eau à
l'aide de ce dispositif
Votre maison peut être réchauffée de la
même manière
Inventé par M. Francois P. Cornish (R-U). Examiné avec
succès par BMW en 1981. Breveté en 1982
CARACTÉRISTIQUES : |
L'eau réagit
habilement avec l'aluminium, produisant de l'hydrogène et de l'oxyde
d'aluminium. |
De l'hydrogène est produit et pulvérisé dans un
carburateur standard comme avec le gaz. |
Une voiture de 900 kg roule 600 kilomètres avec 20 litres
de l'eau et 1 kg d'aluminium. |
Nettoyez l'énergie indépendamment du processus de raffiner
la bauxite dans l'aluminium. |
Le seul produit d'échappement d'un moteur à hydrogène est
de l'eau ! |
L’étanchéité du générateur est importante pour des raisons
de sécurité évidentes. |
En 1981, seulement quelques difficultés mineures ont
existées. Celles-ci peuvent être facilement surmontées : 1) Développer une manière douce de se débarrasser de la
poudre d'oxyde d'aluminium de l'eau du bas du réservoir. 2) Pour trouver une manière absolument sûre de signaler si
l'oxygène reste (bien que la lettre de BMW ne parle pas à ce sujet). |
Rappelez-vous que O et
2H est une combinaison fortement dangereuse et explosive. |
Restaurons
maintenant la confiance permettant à des ingénieurs d'attaquer ce sujet avant
que cette planète manque de temps !
A la conférence de Genève, en juillet 1996 pour la première fois un
avertissement sérieux est fait par des scientifiques des USA, même maintenant
par le gouvernement des USA. C'est tout à fait un changement d'attitude
depuis la conférence de Rio de Janeiro en 1993.
Lettre de BMW sur le sujet :
BMW AG
Muenchen 40 Postfach 40040
Références :
3895-5538
5 nov. 1981
Proposition pour l'amélioration :
Cher M. cornouaillais,
En réponse à votre télex du 17 octobre, nos résultats sont jusqu'ici comme suit
:
L'unité en tant que présent s'est réunie dans un suffisamment de gaz 2000cc
produit par voiture pour actionner le moteur sans interruption.
La consommation d'aluminium a fait la moyenne dehors à 180 centimètres par
minute au-dessus des 70 essais minute.
Au condensateur (selon vos spécifications) s'est relié vers le haut, nous
pouvaient travailler dans notre environnement 14v.
La température de l'eau est demeurée basse, et même sans système de rayonnement
s'est avéré bien entre vos limites.
Aucun acide n'a été trouvé sur l'analyse après l'essai.
Nous cependant estimons qu'un domaine problématique possible peut être la
disposition du gisement d'oxyde. Pourriez vous SVP faites-nous savoir ce qu'ont
été vos résultats de ce côté.
Nous vous prions de croire à l'assurance de notre considération distinguée,
Bayerische Motoren Werke Aktiengesellschaft
Service la Division
I.V. Henseler
V. Krause
Suit ici un texte complet
de la publication européenne N° 0055134A1 de brevet du 30 juin 1982
FOND DE L’INVENTION :
Cette
invention concerne la génération d'hydrogène.
On lui a déjà proposé de remplacer les carburants conventionnels avec de
l'hydrogène dans le fonctionnement des moteurs à combustion interne. Les
propositions conventionnelles sont de produire l'hydrogène par l'électrolyse de
l'eau et puis de stocker l'hydrogène dans une certaine forme ou une autre.
Aucun système économiquement viable de stockage pour le gaz d'hydrogène
fortement explosif n'a été encore évolué. Quelque système soit évolué
impliquerait les réservoirs assez massifs d'une certaine sorte ou un autre et
des précautions pour empêcher des explosions. La présente invention est basée
sur le désir de l'inventeur de pouvoir fournir l'hydrogène sur demande des
matériaux qui sont dans eux-mêmes sûrs pour manipuler.
SOMMAIRE DE L'INVENTION :
Selon l'invention une méthode de
produire de l'hydrogène comporte les étapes d'exposer une surface fraîche en
métal à l'eau et de chauffer l'interface entre la surface en métal et l'eau au
moins à la plus basse température à laquelle le métal réagit avec de l'eau à la
forme un d'oxyde métallique et un hydrogène, le métal étant choisi des métaux
qui sont plus hauts de la série électromotrice que l'hydrogène et l'écurie et
le coffre-fort de avoir manipulant des caractéristiques. De préférence la
surface en métal est exposée et l'interface est chauffée en serrant une
électrode du métal approprié contre une deuxième électrode sous l'eau et en
appliquant une tension entre les électrodes tandis que déplacer de préférence
l'électrode apprête relativement à une
autre.
En d'autres termes sous la forme
préférée d'invention l'hydrogène est constitué en créant une décharge
électrique sous-marine entre deux électrodes au moins une dont est fait d'un
métal comme défini ci-dessus.
La décharge électrique et le
mouvement relatif entre les surfaces d'électrode s'assurent que des surfaces
fraîches en métal sont exposées à l'eau tandis qu'en même temps la décharge
chauffe l'interface entre les électrodes et l'eau à la température requise à
que le métal réagit avec de l'eau à la forme son oxyde et à libérez
l'hydrogène.
En outre sous la forme préférée de
l'invention le métal est un aluminium qui a l'avantage qu'il est dans
l'approvisionnement relativement abondant, relativement bon marché, est formé
avec une couche protectrice d'oxyde sur ses surfaces exposées et réagit avec de
l'eau à une température relativement basse. Le Fédéral de fil d'aluminium
contre un tambour tournant d'aluminium a été trouvé donnent d'excellents
résultats pour fournir l'hydrogène pour actionner de petits moteurs à
combustion interne.
Une manière commode de fixer la
tension exigée est utiliser le distributeur conventionnel et de lover
l'arrangement qui fournit l'étincellement pour un moteur à combustion interne.
Deux enroulements en parallèle le Fédéral d'un distributeur commun a été
trouvés donnent d'excellents résultats. D'autres méthodes de produire des
tensions élevées de la batterie ou de l'arbre d'entraînement d'un moteur à
combustion interne peuvent également être employées. La méthode de l'invention
se prête d'une excellente façon à l'hydrogène d'approvisionnement sur demande.
Dans ce cas-ci de l'hydrogène est alimenté à une petite mémoire tampon et
pendant que la pression dans le magasin excède un niveau prédéterminé, les
électrodes sont séparées de sorte que la génération d'hydrogène soit
interrompue. Comme les chutes de pression à un certain niveau les électrodes
sont de nouveau alimentées vers une
autre.
COURTE DESCRIPTION DU
SCHÉMA :
L'invention sera maintenant encore décrite, à titre d'exemple, avec référence
au dessin de accompagnement, dans lequel : Le schéma 1 est une représentation
schématique d'appareil pour produire de l'hydrogène, et d'approprié à actionner
un véhicule à moteur ; et le schéma 2 montre une partie d'un circuit électrique
approprié.
DESCRIPTION D 'UN MODE DE
RÉALISATION PRÉFÉRÉ :
Dans l'incorporation illustrée il y a un Fédéral se produisant du réservoir 10
avec de l'eau d'un réservoir 11 de réservoir par une soupape à flotteur 12 pour
maintenir le niveau d'eau dans le réservoir 10 essentiellement constant. Quand
l'appareil est utilisé dans un véhicule à moteur, le réservoir 11 peut
remplacer le réservoir de carburant conventionnel du véhicule avec une pompe 14
dans la ligne 15 pour pomper plus d'eau dans le réservoir 10 quand la position
du flotteur 12 indique que ceci est exigé. L'eau est consommée pendant que de
l'hydrogène est produit, et ainsi le réservoir 11 doit être périodiquement
rempli. Le réservoir se produisant 10 est dans la communication avec un
échangeur de chaleur refroidi à l'air 16, qui peut prendre la même forme comme
radiateur conventionnel d'automobile.
Le réservoir se produisant 10 est
surmonté par un navire de rassemblement 17 duquel de l'hydrogène est dessiné
par un orifice restreint 18 d'un moteur à combustion interne. À l'intérieur du
réservoir 10 il y a un tambour 19, conduit par tous les moyens appropriés de
tourner à un à vitesse constante. Le tambour 19 est fait d'aluminium. Une bride
dépendante 20 fournit un bouchon liquide au coin supérieur de main gauche du
réservoir 10, de sorte que ce coin ne soit pas dans la communication de gaz
avec le navire 17.
Un enroulement 21 du fil 22
d'aluminium est alimenté par une unité va-et-vient 23 de la sorte employée pour
alimenter le fil de soudure aux dispositifs de soudure à l'arc électrique
d'argon. L'unité 23 est arrangée pour alimenter le fil contre la surface du
tambour 19 et pour traverser le fil sur la longueur du tambour sur une barre
24. Le fil passe le long d'une douille isolante 25 qui entre dans le réservoir
10 par un joint approprié d'essuie-glace.
Dans le navire 17 il y a une sonde
26 de pression reliée à une unité de commande 27. Quand la sonde de pression
sent une pression au-dessus d'une valeur prédéterminée, elle signale l'unité de
commande 27 ce qui arrête alternativement l'unité 23 de sorte que le fil ne
soit plus alimenté vers le tambour 19. Quand les chutes de pression encore,
alimentant est reprises.
En service, l'enroulement 21 est
relié au côté haute tension de deux bobines d'allumage ou transformateurs 30 et
33. Ces transformateurs ont des enroulements primaires 31 et 34 et enroulements
secondaires et haute tension 32 et 35. Un condensateur 36 est relié à travers
les raccordements haute tension. Les bornes 28 et 29 sont reliées à une batterie
conventionnelle de véhicule.
Au moment où le contact entre
l'extrémité du fil 22 et le tambour 19 une décharge électrique a lieu. En
conséquence les surfaces adjacentes en métal sont chauffées à la température,
l'à pellicule d'oxyde protecteur qui forme naturellement sur les surfaces
exposées d'aluminium est perturbé, et les surfaces exposées d'aluminium
réagissent avec de l'eau. En fait la situation électrochimique à l'interface
est telle que le fil 22 est consommé avec avoir lieu suivant de réaction.
2Al + 3H2O
---> AlÒ3 + 3H2
En conséquence, l'hydrogène
bouillonne du point de contact tandis que l'oxyde d'aluminium se rassemble
comme poudre blanche dans la base du réservoir 10. Une grille 37 au fond du
réservoir permet à la poudre de passer à travers, et puis maintient la poudre
essentiellement exempte des courants dans le réservoir 10. L'hydrogène traverse
le navire 17 et l'orifice 18 au carburateur d'un moteur à combustion interne.
Il peut y a
une tendance pour des bulles d'hydrogène d'adhérer à la surface du tambour 19
qui tourne dans la direction indiquée par la flèche 38. Empêcher ceci qui se
produit un balai d'essuie-glace 39 peut être situé dans la position représentée
sur le schéma 1, afin de séparer tout adhérer bouillonne de la surface de
tambour.
Alternativement, un balai
d'essuie-glace 40 peut être arrangé du côté opposé du tambour. Dans ce cas-ci
un petit volume de gaz d'hydrogène peut se rassembler sous cette lame, et il
peut être possible de pivoter la lame 40, de ce fait libérant cette poche
d'hydrogène afin de faciliter la mise en train d'un moteur rempli de
combustible par l'hydrogène.
Il peut être possible d'employer
l'eau salée dans le réservoir 10, plutôt que l'eau doux.
Le tambour 19 tourne de préférence
à une vitesse entre 400 et 700 t/mn, mais la rotation peut être aussi lente que
50 t/mn.
Pendant les opérations la température de l'eau dans le réservoir 10 peut
s'élever aussi haut que 95°C, bien qu'il soit probable qu'une unité montée dans
un véhicule mobile, par exemple, puisse maintenir l'eau à une plus basse
température.
Une unité sensiblement suivant les
indications des schémas a été employée pour conduire un moteur de cycle du
moteur 500cc. Le fil 22 a eu un diamètre de 1.6 millimètre et était de la
pureté commerciale (98%~Al). L'unité a produit plus de 1000 cc d'hydrogène par
minute, avec un taux de consommation de fil d'aluminium de 140 à 180
centimètres par minute. Le taux de dépôt d'oxyde d'aluminium était environ 4
kilogrammes par 500 kilomètres a voyagé.
Des modifications conventionnelles
ont été faites au carburateur pour permettre au moteur de tourner sur un
mélange d'hydrogène et d'air.
Le fil 22 porte une tension
d'environ 18000 volts avec un courant d'environ 1 ampère.
L'invention peut également être employée
pour actionner les moteurs industriels stationnaires, aussi bien que des
moteurs de véhicule à moteur.
REVENDICATIONS :
1. Appareil pour produire de
l'hydrogène comportant un réservoir (10) pour contenir l'eau, une surface en
métal (22) disposée dans le réservoir, des moyens de chauffer la surface au
moins à la plus basse température à laquelle le métal réagit avec de l'eau pour
former un d'oxyde métallique et un hydrogène, et une chambre (17) pour
rassembler l'hydrogène produit.
2. Appareil selon la revendication
1, où la surface en métal (22) est aluminium.
3. Appareil comme revendication 1
ou revendication 2, où les moyens de chauffer la surface est une décharge
électrique entre une surface (22) et une électrode différente (14).
4. Des appareils comme réclamés,
où une deuxième surface en métal (19) est arrangée dans le réservoir, et des
moyens sont fournis pour déplacer une surface (19) relativement à l'autre, les
deux surfaces étant reliées dans un circuit électrique (le schéma 2) de sorte qu'ils
forment les électrodes entre lesquelles une décharge électrique peut avoir
lieu.
5. Appareil selon la revendication
4, où la deuxième surface en métal est l'aluminium (19).
6. L'appareil selon la
revendication 4 ou la revendication 5, où la première surface en métal (22) est
un fil et la deuxième surface en métal (19) est un tambour, le tambour étant
monté pour la rotation et le fil étant soutenu de sorte qu'il approche la
surface cylindrique du tambour sous un angle à une tangente sur la surface de tambour.
7. Appareil selon la revendication
6, où le fil (22) est soutenu par un dispositif (23) qui alimentent sans
interruption le fil, pendant qu'il est consommé, vers la surface de tambour
(19).
8. Appareil selon la revendication
7, où les moyens (26.27) sont donnés pour sentir la pression du gaz d'hydrogène
dans la chambre (17) et pour régler le taux d'entrée du dispositif de
alimentation de fil (23) selon la pression sentie, pour commander le rendement
d'hydrogène.
9. Appareil suivant une quelconque
revendication précédente, où le réservoir (10) est relié à un échangeur de
chaleur (16), de sorte que l'eau puisse circuler du réservoir, par l'échangeur
de chaleur, et de nouveau au réservoir.
10. Une méthode de produire de
l'hydrogène comportant les étapes d'exposer une surface fraîche en métal (22) à
l'eau et de chauffer l'interface entre la surface en métal et l'eau au moins à
la plus basse température à laquelle le métal réagit avec de l'eau pour former
un d'oxyde métallique et un hydrogène, le métal étant choisi des métaux qui
sont plus hauts de la série électromotrice que l'hydrogène et qui ont l'écurie
et le coffre-fort manipulant des caractéristiques.
11. Une méthode selon la
revendication 10, où le métal (22) est aluminium, et une surface fraîche en
métal est exposée et l'interface est chauffée en serrant une électrode
d'aluminium (22) contre une deuxième électrode (19) sous l'eau et en appliquant
une tension entre les électrodes.
Texte traduit informatiquement. (Veillez
excuser le mauvais français)
Ils
l'ont fait parce qu'ils ne savaient pas que c'était impossible.
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c'est bien mais trouver serait mieux.